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Discussion dans la cour #2

Annie Thibault

Discussion

Rendez-vous dans le salon des membres de La Filature de 18 h à 19 h. L'entrée se fait par AXENÉO7, au 80, Hanson.

La série de Discussions dans la cour est présentée dans le cadre de la programmation estivale d'art public du centre d'artistes AXENÉO7.

La discussion sera conduite en français.

En parallèle aux œuvres Les Radieuses / Cartographie de l'invisible Thibault (Gatineau) et Mirador de Josée Dubeau (Gatineau) présentées en collaboration avec le Sentier culturel de la Ville de Gatineau, aux Résidences d'été croisées, en partenariat avec l'Écart, et à l'exposition de Maura Doyle Dear Universe / Cher Univers, le centre d’artistes AXENÉO7 propose la série Discussions dans la cour les mercredi 13, 20 et 27 juillet afin d’animer l’espace vert de l'arrière-cour de La Filature par des échanges portant sur la démarche des artistes de la programmation estivale.

Pour la seconde Discussion dans la cour, AXENÉO7 accueillera Annie Thibault, artiste de la programmation estivale d'art public d'AXENÉO7 en partenariat avec le Sentier culturel de la Ville de Gatineau de 2022.

Annie Thibault vit et travaille à Gatineau (Québec). Elle a étudié en science avant de compléter un baccalauréat en arts visuels à l’Université du Québec en Outaouais (UQO) et une maîtrise à l’Université d’Ottawa. Lauréate de plusieurs bourses de recherche dont la bourse Claudia De Hueck Art et Science du Musée des beaux-arts du Canada (MBAC), elle a réalisé plusieurs œuvres publiques permanentes et des expositions associées à des résidences dans des laboratoires de biologie au Canada, à Barcelone, en Finlande et en Angleterre. Ses œuvres font partie de plusieurs collections privées et publiques, dont la collection permanente du Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ).
Inspirée par une esthétique où s’opèrent de multiples croisements entre l’art, la science et la nature, Annie Thibault intègre dans sa pratique artistique le dessin, la sculpture, l’installation, la photographie et la vidéo. Empruntant outils et ressources techniques à des centres de recherche et d’enseignement de biologie, l’artiste distille un univers empreint de mystère où la matière vivante sert de support plastique. Son intérêt pour les réseaux de croissance souterrains des champignons comme systèmes d’interconnectivité écologique informent ses œuvres récentes qui sont en quelque sorte un questionnement, en partie scientifique, en partie artistique, sur la sensibilité des êtres non-humains et la résilience de la nature. Thibault a participé récemment à La 8e Biennale nationale de sculpture contemporaine (2018) et son exposition La Chambre des cultures, foraging in Time and Space présentée à la Carleton University Art Gallery (CUAG, 2017) a reçu cet automne le prix Exhibition of the Year: Budget under $20,000—Monographic par l’Ontario Association of Art Galleries (OAAG).

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